Notre client s’interrogeait sur la pertinence de ses achats en programmatique. Notre analyse a révélé qu'il était actif sur un million de sites, mais que le niveau de qualité d'un grand nombre d'entre eux était nettement inférieur aux attentes du client. Nous avons également identifié des problèmes de visibilité, de fraude et d’une faible optimisation, ce qui signifie qu'une grande partie du budget était investi sur des sites qui ont été mis sur liste noire postérieurement à la campagne. En outre, une part excessive budget programmatique a été allouée à un seul site. Sur la base de nos conclusions, nous avons travaillé avec l'agence et le client pour établir des KPI et des standards de qualité précis, permettant ainsi d'établir une white list de 500 sites spécifique au client. L'efficacité, la qualité et l'efficience du budget programmatique s'en sont trouvées considérablement accrues. L'agence a pu tirer parti du pouvoir d'achat du client dans les négociations avec le site qui détenait auparavant une part trop importante de l'investissement, afin d'accéder à un inventaire de meilleure qualité à moindre coût. L’Ad fraud a baissé de 80 % et la brand safety est passée de 97 % à 100 %. La visibilité s'est également améliorée, passant de 58 % à 68 %, soit une hausse de 17 %. Les indicateurs de marque des achats programmatiques, tels que la notoriété spontanée de la marque, sont passés à 37 %.